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Algérie Guelma : fausse alerte au sang périmé à l'hôpital

Le quotidien d'Oran | Algérie | 24/02/2010 | Lire l'article original

Les usagers de l'établissement public hospitalier Dr. Okbi ont été secoués d'apprendre que du sang périmé se trouvait au sein des services de la transfusion sanguine. Ceci a déclenché un branle-bas de combat des autorités sanitaires locales qui sont finalement parvenues à cerner le contexte alarmiste et établir, après constatation, que les poches de sang «incriminées» étaient en fait destinées à l'incinération. Il reste, toutefois, inconcevable qu'une information incomplète ou amplifiée avec des dessous biaisés, puisse être distillée avec autant de désinvolture sans se soucier des conséquences pouvant générer un état de psychose parmi les patients et au sein de la population en général. D'après les résultats de l'enquête diligentée par les autorités sanitaires, nous relevons que la banque de sang de l'EPH Dr Okbi, de Guelma comptabilise un stock composé de 65 poches de sang conservées dans les normes en vigueur et utilisables sans aucun risque pour les malades.

Par ailleurs les poches de sang objet de cette alerte sont au nombre de 24 et étaient dans la salle d'incinération avec un procès-verbal de destruction. Ce document confirmait la destruction de 13 poches de sang pour péremption et 11 autres pour d'autres motifs tels la sérologie positive ou la quantité insuffisante.

L'hématologiste en charge du service de transfusion sanguine à l'EPH affirme que : «Les prélèvements de sang et son traitement ou son acheminement sont effectués selon les normes sanitaires et avec une grande vigilance, afin d'assurer aux usagers un produit contrôlé et sans aucune altération bactériologique».

Le directeur de la Santé et de la Population soutient que: «Dans tous les milieux hospitaliers, il est naturel de retrouver des matières consommables ou autres produits pharmaceutiques en état de péremption. Ceci implique aussitôt leur retrait et leur destruction par incinération. Dans ce cas d'espèce, il s'agit d'un acte précipité et alarmiste auquel je réponds que les établissements publics hospitaliers sont, par destination ouverts pour prodiguer les meilleurs soins aux patients et non le contraire». A travers cette situation de panique qu'on a créée, se cache une certaine intention de nuire à la bonne image des structures de la santé et autant à l'ordre public. La justice saisie de cette affaire apportera, assurément, les éclaircissements nécessaires pour un regain de confiance et de sérénité sociale.

par Menani Mohamed

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